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L’hépatite C : le virus de l’hépatite C est un virus responsable d’hépatite aiguë et chronique. Le virus de l’hépatite C est un virus qui infecte les cellules du foie de manière active. Il existe plusieurs types d’hépatite C dont une forme sévère, dite cirrhose. La cirrhose est une complication de l’hépatite C qui provoque une atteinte du foie plus ou moins grave. Les symptômes de la cirrhose sont :

  • une jaunisse (ictère) qui survient surtout chez les sujets de plus de 60 ans et qui correspond à une accumulation de bilirubine dans le sang ;

  • des difficultés de digestion ;

  • des douleurs abdominales ;

  • un taux de graisse dans le sang anormalement élevé ;

  • un saignement du nez ou des gencives ;

  • une augmentation des enzymes du foie ;

  • des problèmes sanguins (anémie) ;

  • une augmentation du volume du foie ;

  • des problèmes respiratoires ;

  • une perte de poids ;

  • une augmentation de la taille de la rate ;

  • une perte de cheveux ;

  • une fatigue ;

  • une fatigue inhabituelle ;

  • un ictère (jaunissement de la peau et des yeux) ;

Quelles sont les causes d’une hépatite C ?

Une hépatite C est une maladie qui touche le foie. Elle est causée par le virus de l’hépatite C (VHC). Ce virus se transmet par le sang et par la salive à partir de gouttelettes émises par une personne infectée. Ce virus est également appelé VHC.

Le virus de l’hépatite C est très contagieux. Il peut donc être transmis par l’intermédiaire de différents modes de transmission.

Les modes de transmission sont :

- par voie sexuelle : il peut être transmis par la pratique du sexe oral ou le partage de seringues ou de gobelets en plastique, par le sang, par la salive ou par le sang contaminé ;

- par contact cutané avec une personne qui a une infection au VHC : par contact direct, c’est à dire par contact avec la peau ou les muqueuses d’un individu qui a été contaminé par le VHC, par contact indirect, c’est-à-dire par contact avec un objet ou un objet contaminé.

Plusieurs modes de transmission du VHC sont possibles, mais les modes les plus courants sont les suivants :

- par contact direct avec le sang de personnes atteintes par le VHC, par le sang de personnes ayant eu un contact avec une seringue contaminée par le sang ou par le sang contaminé ;

- par contact avec du sang contaminé (utilisation d’un matériel à risque).

Il arrive que la personne infectée ne soit pas consciente de la présence de la contamination et qu’elle accepte d’emblée le traitement. Dans d’autres cas, le traitement du VHC n’est possible qu’en cas d’arrêt des saignements et de la consommation d’alcool.

Comment reconnaître une hépatite C ?

Il existe plusieurs signes de l’hépatite C.

- des symptômes de type digestif : nausée, vomissements, diarrhée ;

- des symptômes de type neurologique : sensation de faiblesse, fatigue, problèmes de concentration, somnolence, fatigue, troubles de la mémoire, perte de la motricité ;

- des symptômes de type musculaire : fatigue, douleur musculaire, douleurs articulaires, douleur à la poitrine, essoufflement.

Ces signes peuvent être présents dès la phase asymptomatique de la maladie (avant l’apparition des symptômes). Ils sont souvent peu marqués et peuvent donc ne pas être suffisamment observés pour permettre une prise en charge et une détection rapide.

Dans certains cas, l’hépatite C peut être asymptomatique.

Il est donc important de rechercher systématiquement les signes de l’hépatite C, car une hépatite C non diagnostiquée peut évoluer vers une forme grave d’hépatite C qui peut avoir de graves conséquences pour le patient.

Quelles sont les complications de l’hépatite C ?

Comme dans tout virus transmis par la voie sexuelle, l’hépatite C peut être à l’origine d’une cirrhose. Cette cirrhose peut être grave et irréversible, ce qui peut mettre la vie du patient en danger.

Il existe différents types de cirrhoses :

- cirrhose nodulaire ;

- cirrhose fulminante ;

- cirrhose alcoolique ;

- cirrhose biliaire primitive (CBP), qui est une maladie inflammatoire du foie causée par une infection chronique à la cholestase ou à la bile. Cette maladie est très grave et peut entraîner la mort. En France, on estime qu’elle touche environ 1 % des personnes infectées par le VHC. Dans ce cas, la cirrhose est irréversible et les symptômes peuvent être très invalidants.

La cirrhose du foie peut également entraîner des complications neurologiques : des crises d’épilepsie, des céphalées et des troubles de la mémoire peuvent survenir. Dans certains cas, la cirrhose peut entraîner un cancer du foie : c’est ce qu’on appelle la cirrhose biliaire primitive. Cette maladie est grave et peut entraîner la mort.

Certains médicaments peuvent également provoquer des complications graves du foie. Il s’agit de l’aliskirène et de la naltrexone.

Ces médicaments sont utilisés pour traiter l’HTAP, une maladie pulmonaire qui touche les personnes souffrant d’hypertension artérielle.

Une insuffisance hépatique peut également survenir lorsque le foie fonctionne mal et qu’il n’y a plus assez de graisses produites par le foie. Cela peut entraîner une prise de poids, une fatigue, des problèmes de vision ou encore des problèmes de concentration.

L’insuffisance hépatique peut également entraîner une détérioration de la mémoire et des capacités d’apprentissage.

Il est important de signaler aux médecins tout symptôme inhabituel et inhabituel à la recherche d’une maladie du foie car une maladie du foie peut être grave et peut entraîner la mort.

Que faire si vous avez une hépatite C ?

Si vous avez une hépatite C, il est important de surveiller votre hygiène de vie et votre alimentation. Vous devez également éviter de consommer des drogues récréatives et de l’alcool, et vous devez limiter les aliments gras et salés. Il est également important de consulter un médecin pour surveiller votre état de santé et surveiller les symptômes de votre hépatite C et de vos maladies.

Comment prévenir la transmission de l’hépatite C ?

L’hépatite C est une maladie très grave qui peut être transmise par le sang ou par les fluides corporels. Il est important de prévenir la transmission de l’hépatite C afin de réduire le risque de transmission et d’améliorer la qualité de vie des personnes infectées.

Il existe différentes méthodes de prévention de la transmission de l’hépatite C :

  • Lavez-vous les mains régulièrement avec du savon et de l’eau ;
  • Limitez votre consommation d’alcool ;
  • Evitez de partager des seringues ;
  • Faites attention à la consommation de drogues récréatives ;
  • Consultez un médecin si vous avez des symptômes d’infection au VHC.

Quels sont les traitements de l’hépatite C ?

Les traitements de l’hépatite C peuvent être divisés en deux groupes : les médicaments et les thérapies complémentaires. Les médicaments visent à supprimer ou à inhiber la réplication virale et à prévenir les lésions hépatiques graves. Les thérapies complémentaires visent à soulager les symptômes et à améliorer la qualité de vie des personnes infectées par le virus.

Il existe plusieurs types de médicaments contre l’hépatite C :

- les antiviraux : ils sont utilisés pour traiter l’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) et préviennent la réplication du virus. Ils ont un effet inhibiteur sur la réplication virale. Les antiviraux sont généralement disponibles sous forme de comprimés ou d’injections. Ils sont pris en continu pendant plusieurs mois. Ils peuvent être associés à d’autres médicaments pour optimiser leur efficacité.

- les traitements complémentaires : ils visent à renforcer les défenses naturelles du foie et à prévenir les lésions hépatiques. Ils peuvent prendre la forme de compléments alimentaires ou de médicaments à base de plantes. Ils peuvent être utilisés en association avec les antiviraux ou seuls en cas d’échec du traitement médicamenteux. Il est important de respecter les recommandations du médecin pour les prendre au bon moment.

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Des cas de pancréatite ou de nécrose du pancréas ont été rapportés lors de traitements par ce médicament pendant plusieurs mois. Ces effets indésirables sont généralement réversibles à l’arrêt du traitement. En cas de douleurs pancréatiques, de fièvre ou de vomissements, il convient de demander conseil à son médecin ou à son pharmacien.

Les comprimés sont susceptibles de provoquer une chute importante de la pression artérielle. Les comprimés à libération prolongée ne sont pas destinés à être utilisés en cas d’hypotension artérielle sévère.

· Si vous présentez une anomalie du bilan hépatique, votre médecin peut diminuer la dose de votre traitement.

Si vous avez une maladie rénale ou hépatique sévère et si vous devez utiliser ce médicament :

· un traitement avec des antivitamines K est nécessaire pour éviter des troubles de la coagulation pouvant mettre en danger le patient ;

· la prise de ce médicament doit être interrompue en cas de symptômes tels que la jaunisse, une baisse excessive de la fonction hépatique, des urines claires ou des selles décolorées.

Si vous prenez des médicaments à base de lithium, ce médicament peut être à l’origine de troubles du rythme cardiaque : une surveillance est nécessaire.

Si vous avez des douleurs abdominales ou des troubles de la coagulation et que vous utilisez un anticoagulant oral (cet effet est plus important lors de l’utilisation concomitante des deux médicaments), parlez-en à votre médecin.

Si vous avez des douleurs abdominales ou des troubles de la coagulation et que vous utilisez des anticoagulants oraux, votre médecin peut réduire la dose de votre traitement par le fluconazole.

Si vous avez des douleurs abdominales ou des troubles de la coagulation et que vous utilisez un autre médicament contenant du millepertuis (Hypericum perforatum), demandez à votre médecin de cesser d’utiliser ce médicament et de rechercher si un autre médicament peut être plus approprié.

Si vous prenez des médicaments pour traiter une infection à VIH :

Ce médicament peut être à l’origine d’une élévation des taux des transaminases (ALAT et ASAT) ou d’une modification des transaminases (ASAT et ALAT). Votre médecin peut décider de surveiller vos transaminases tout au long de votre traitement.

Si vous avez une maladie du foie :

Ce médicament peut provoquer des lésions hépatiques graves. Si vous avez une maladie du foie, votre médecin doit contrôler régulièrement votre fonction hépatique.

Si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, votre médecin peut vous prescrire une dose plus faible.

Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez,vous ne devez pas prendre ce médicament car il peut affecter le développement de votre bébé à naître.

Enfants

Sans objet.

Si vous prenez ou avez pris récemment un autre médicament, y compris un médicament obtenu sans ordonnance, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

Les médicaments peuvent être associés et leur effet peut être modifié.

Il est important de respecter la posologie inscrite sur la notice du médicament. En cas de doute, demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien.

Ce médicament doit être utilisé de façon régulière pour obtenir les meilleurs résultats.

Ne changez pas de votre propre chef le dosage prescrit. Adressez-vous à votre médecin ou à votre pharmacien si vous estimez que l’efficacité du médicament est trop faible ou au contraire trop forte.

Si vous prenez ce médicament pendant plus de 2 semaines ou si vous avez plus de 60 ans, vous devez informer votre médecin ou votre pharmacien.

4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ?

Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.

Ces effets indésirables sont principalement :

une diminution de la pression artérielle ;

une accélération du rythme cardiaque ;

une baisse des taux de graisse dans le sang ;

une élévation de certains enzymes du foie (transaminases) ;

une réduction du volume de la rate (splénomegalie) ;

une inflammation des gencives ;

une diarrhée ;

des douleurs abdominales ;

un pouls irrégulier ;

des crampes musculaires ;

un ralentissement du rythme cardiaque ;

des réactions cutanées (réactions cutanées graves).

En cas de symptômes tels que des troubles du rythme cardiaque ou une élévation des enzymes du foie, vous devez arrêter le traitement par le fluconazole et contacter immédiatement votre médecin.

Dans de très rares cas, des symptômes tels que des douleurs abdominales et des diarrhées peuvent survenir. Ces symptômes disparaissent spontanément ou après l’arrêt du traitement.

5. COMMENT CONSERVER FLUCONAZOLE TEVA 100 mg, comprimé ?

Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.

Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement.

6. CONTENU DE L’EMBALLAGE ET AUTRES INFORMATIONS

Ce que contient FLUCONAZOLE TEVA 100 mg, comprimé

·La substance active est :

Fluconazole ....................................................................................................................... 100 mg

Qu’est-ce que FLUCONAZOLE TEVA 100 mg, comprimé et contenu de l’emballage extérieur

Ce médicament se présente sous forme de comprimé à 100 mg, boîte de 10, 20 ou 40. Boîte de 4, 14, 28 ou 100.

Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché

TEVA SANTE

69736 SAINT-PIERRE-DIFFERENT

Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché

Fabricant

Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen

La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est :

[à compléter ultérieurement par le titulaire]

Autres

Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et dans la notice annexée.

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